Cernnunnos un dieu ou une déesse ?

A Brocéliande, dans le roman, Frédéric Floréal a choisi quatre divinités du panthéon celtique et gallo-romain. Mais il y en a un, étant plus proche de l’époque néolithique que reprendront ceux que l’on nomme Gaulois. Le divin Cernunnos. Afin de clarifier les choses, Cernunnos n’est pas une déesse comme dans notre histoire, c’est une liberté de l’auteur prise pour plus de modernité et surtout de parité (égalité). Il faut bien coller à son époque, alors nous dirons avec humour que Cernunnos a pris sa retraite pour laisser sa fille s’occuper des affaires familiales, en lui donnant les mêmes attributs, fonctions et pouvoirs ! Donc, Cernunnos est bien un dieu, non une déesse, c’est le dieu des forêts, dont les origines semblent venir du fond des âges de l’ère mégalithique. Chez les Celtes et les Gaulois, le dieu cornu représentait le cycle de la vie et le dieu de l’existence et de la mort, de l’abondance et de la richesse. Nous avons pris Cernunnos pour représenter l’été, symbolisant la vitalité, la végétation luxuriante. C’est la fée Mel, fée de l’été qui correspond aux mois de juin, juillet et août et dans le calendrier celtique a litha et Lugnasad. Souvent représenté à visage humain assis en tailleur portant sur la tête une ramure de cerf. Il porte à son cou un bijou typiquement gaulois, le torque. Pour en revenir au roman, voici quelques attributions que j’ai donné à notre déesse. Signes particuliers : Déesse du feu et de l’été et fille du roi de l’univers, créatrice des feux follets et fille du dieu Cernunnos, son animal de compagnie est un petit faon particulier. La déesse Cernunnos est une création du roi de l’univers, née de la rencontre du ciel et de la terre, Cernunnos est sortie d’une étoile transformée en cristal, celui-ci était rouge. Elle devint protectrice de la création de la terre, créatrice des fées, pour l’aider dans l’équilibre de la terre et des Saisons. Déesse de la prospérité, du renouvellement cyclique des saisons comme le cerf perd ces bois et repousse l’année suivante Déesse de plusieurs mondes, elle est l’une des protectrices de la terre et du petit peuple. Vous en savez désormais un peu plus sur les fées de Brocéliande, à très bientôt pour d’autres petits secrets.

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Ia fée Isseult la matriarche                                                       

Article du 15 avril 2025

Bonjour à tous, faisons un peu de magie féerique….!

Pour bien comprendre le roman des Fées de Brocéliande, il y a un personnage très important. C’est évidemment la matriarche, le cœur de la communauté des fées. La matriarche Isseult a environ 570 ans, mais elle est née sous les traits de dessin que nous lui connaissons le 12/02/2024. Les temps ont changé pour nos fées autrefois dirigées par des rois et des reines, le peuple féerique a bien grandi dans la plus grande discrétion. Elles fonctionnent désormais en plusieurs communautés patriarcales ou matriarcales. Désormais installées au bord de la forêt de Brocéliande, c’est Isseult qui dirige sa communauté et veille à son bon fonctionnement. Isseult est bien une fée française, une chevelure blanche, mise en chignon, qui révèle ses oreilles en pointe, des yeux bleus encadrés par une paire de lunettes rondes. Elle a de magnifiques ailes papillons, elle porte une longue robe jusqu’au pied de couleur pourpre avec des encolures dorées en signe elfique. Sur ses manches est inscrit « Arkanome » et sur l’autre manche est marqué son nom « Isseult ». En bas de sa robe est écrit « Haute mage féerique de Brocéliande ». La magie en générale ou le mage féerique sont appelés « Arkanome » dans le monde des fées de Brocéliande. Il désigne aussi bien celui ou celle qui la pratique. Isseult la matriarche est une fée d’un âge ancien, elle est la sagesse des fées et la gardienne des connaissances sur de nombreux domaines. Sa magie et son pouvoir sont très puissants, elle est l’intermédiaire entre les dieux des saisons. La voûte de son salon est magique, elle peut voir ce qui se passe sur l’instant présent à sa demande. Elle aime prendre le thé en compagnie de Yionnis lors des rapports d’inspection et aime s’occuper de sa serre ou mille plantes y poussent. Pour savoir comment se passe le choix d’une fée des saisons, il faut lire en fin du roman la section : Mieux comprendre le monde des fées de Brocéliande, sur l’intronisation d’une fée des saisons, à bientôt pour un prochain article amis des fées de Brocéliande.

 

Ia fée mécano Sérine 

Article du 15 Mai 2025

Faisons un peu de mécanique !   

Bonjour à tous les amis des Fées de Brocéliande, ce mois-ci je vous parlerais de Sérine Fériscience. Mais qui est donc cette drôle de fée avec son look steampunk et sa mèche de cheveux rose devant le visage. Sérine à presque 210 ans, elle est née pourtant le 17 avril 2024 à la demande de Frédéric Floréal et a pris ses traits définitifs sous le pinceau de Ricardo Mango. Cette jolie fée est la sœur de Haune et vit avec elle dans la maison théière qui se trouve sous la lavande du jardin de dame Huguette. Cette fée, aux cheveux châtain clair, mi-longs jusqu’aux épaules avec deux nattes, une mèche de cheveux rebelle sur le devant colorée de rose, a bon caractère, mais n’abusez pas trop non plus, elle vous montrerait qu’elle a du répondant verbal. Elle s’habille très souvent avec un panta court avec une jupe fendue en cuir marron sur les côtés pour pouvoir travailler. Un petit haut sans manches, serré simple marron clair révélant ces formes. C’est la mécano de la communauté, elle aime aussi inventer des machines, ça plus belle réussite est la foreuse à cristaux magiques, qu’elle utilise pour sa sœur. Elle porte souvent ses lunettes de mécanique à loupes multiples au-dessus de sa tête. Elle est souvent maculée de taches de cambouis sur le visage, ayant souvent la tête dans la mécanique. Sérine et Nalia se connaissent depuis l’enfance, elles ont été en compétition pour être une fée de l’hiver, mais elles se chamaillent souvent ensemble, se donnant régulièrement des noms d’oiseaux et s’envoient des pics lorsqu’elles se voient. Mais la réalité c’est que Sérine et Nalia se considèrent comme des sœurs et s’apprécient beaucoup, jusqu’à chercher l’autre quand elles ne sont pas là, ce qui amuse aussi Haune. Sérine a trouvé sa vocation à travers ces inventions et aide sa sœur Haune dans ses recherches de cristaux, ce qui l’arrange bien aussi, car elle en a besoin pour ses mécaniques. Elle porte sur ses bras deux éléments qui l’aident dans son travail. Le premier se trouve à son poignet, cet appareil s’appelle un « Magie Volt » qui lui permet de voir la puissance magique des cristaux et sur le haut de son autre bras, elle porte un petit brassard de cuir avec des tubes à essai qui contiennent des cristaux de rechange pour la foreuse. Voilà ! Vous en savez plus sur notre chère Sérine, à très bientôt, les amis.

Le personnage de dame Huguette

Article du 15 Juin 2025

Un personnage atypique !   

Amis des fées de Brocéliande, bonjour ! Mais qui est donc dame Huguette dans le roman de Frédéric Floréal. Ce personnage du roman est un peu à part entière dans l’aventure de nos fées. En effet, contrairement aux autres personnages, Dame Huguette est le seul à exister réellement dans notre monde. Cette personne porte aussi le nom de madame champi, dut aux faits que l’hiver elle porte un bonnet évidé en laine blanc, qui ressemble dans sa forme à une morille. Dans notre roman dame Huguette part du Périgord pour aller en Bretagne, mais dans la réalité, elle est bien issue de la région du Périgord lieu natal où elle a passé son enfance. Elle y apprendra dans ses jeunes années de jeune fille des études à l’école hôtelière de Prayssac, c’est pour cela que dans notre roman, elle aime faire la cuisine, ce qui lui vaudra de rencontrer l’une de nos fées… mais chut ! n’en disons pas plus, pour ne rien spolier. Dans l’imaginaire de Frédéric Floréal, notre dame Huguette ignore que depuis très longtemps une communauté de fées la suit. C’est donc tout naturellement que la petite colonie va la suivre, tous cachés dans les bagages et le déménagement. Bien entendu elle n’a aucune idée de leurs existences lorsqu’ils s’installent dans son jardin et rien ne le laisse penser… magie féerique ! Mais les abords de Brocéliande lui réservent des surprises et bien des découvertes… Elle s’installera dans notre roman, dans une vieille maison traditionnelle bretonne de pierre et en toit de chaume avec un jardin aux abords de la forêt. Elle habitera dans cette demeure, car son ancienne propriétaire trop âgée pour rester seule va devoir quitter les lieux et sera dans l’obligation de la vendre. Aujourd’hui la vraie dame Huguette a 73 ans et vit toujours dans le Périgord et coule des jours heureux avec son petit chien Jouky un yorkshire et son jardin en regardant de temps en temps des films surtout des thrillers et vers les périodes des fêtes les films de noël et ça, c’est véridique, ce n’est pas que dans le roman ! Vous en savez désormais un peu plus sur le personnage de dame Huguette, à bientôt…

 

 

Le personnage de Grull

Article du 5 Juillet 2025

Grull le korrigan râleur !

 

Bonjour, amis des fées de Brocéliande, pour ce nouvel article, nous allons nous pencher sur l’une des créatures de Brocéliande : le korrigan. Qu’est-ce que c’est que cette « “bête” là » ? Dans de nombreuses légendes et contes de Bretagne, bien des choses sont attribuées aux korrigans, tantôt bonnes, tantôt mauvaises. Il est décrit comme une sorte de lutin facétieux et fait partie de ce que l’on appelle « le petit peuple » ou encore « le peuple des invisibles » qui regroupe les elfes, les lutins, les fées, farfadets, gobelins, troll et d’autres encore. Ils vivent dit- on près des menhirs, dolmens ou encore en forêt. Dans notre roman, les Fées de Brocéliande, toujours écrit par Frédéric Floréal, l’auteur a pris le parti de les faire de façon un peu différente en leur donnant une apparence plus proche d’un petit « troll », mais garde toutefois des traits du korrigan original. L’un des trois korrigans de notre histoire se nomme Grull. Ce korrigan mesure à peine 30 ou 40 cm, aux yeux marron iris noir a des Cheveux hirsutes et porte un chapeau folklorique qu’il a chapardé à une troupe de danseurs et s’habille principalement de peau tannée et marche pieds nus. Sa peau est de couleur marron clair avec une pointe de vert foncé. Il a des traits presque humains, mais ça n’en reste pas moins une créature de Brocéliande. Il aime les mauvaises blagues, les trésors, il s’amuse à donner des sobriquets aux groupes de fées. Il a un petit faible pour la korrigane du groupe Gursette, mais n’a jamais osé avouer ses sentiments. Grull veut toujours faire croire qu’il est un korrigan pur et dur, il cache sous ses airs bougons et râleurs une affection pour ceux qui l’entoure, il apprécie en le niant le petit groupe de fées et la « bigouden » de la maison bretonne, dame Huguette. Il va même apprendre à les connaître par la force des choses.... Il va se rendre compte que ce qu’il a toujours appris n’est peut-être pas toute la vérité sur les fées et les humains…, mais tout cela vous l’apprendrez en lisant les aventures de nos fées. À bientôt dans un prochain article.

La genèse d’un roman

Article du 5 Aout 2025

Des millénaires avant les Fées de Brocéliande…

Bonjour à tous amis des fées de Brocéliande, ce mois-ci, nous allons parler de la genèse qui se trouve au début du roman dans les fées de Brocéliande. C’est parti ! La première question que je me suis posé. lorsque j’ai voulu écrire sur le thème des fées et que beaucoup d’entre vous ont dû se poser aussi : Mais pourquoi ne voit-on pas les êtres féeriques ? On nous dit qu’ils existent, mais nous ne les voyons pas. Avant même de commencer une quelconque histoire, il fallait absolument donner une réponse à cette question épineuse. C’est à la suite de plusieurs événements sans relation particulière et après plusieurs mois de travail et de réflexion que j’ai mis chaque pièce du puzzle en place et répondre à chaque question que vous auriez pu me poser. Notre nation c’est constituée de peuples indo-asiatiques qui ont migré vers nos régions et s’y sont installés. Ses peuples formants diverses peuplades deviendront diverses nations plus tard et nos ancêtres avec leurs dialectes propres. Mais ils porteront un nom commun : les Celtes, bien que je prenne ici un raccourci un peu rapide, les plus érudits j’espère me pardonneront. Ces fameux Celtes auront leurs croyances et leurs divinités. C’est avec cette idée en tête que j’ai commencé ma génèse. Mais cela n’explique toujours pas pourquoi nous ne voyons pas les êtres féeriques. Ayant travaillé dans le secteur du bien-être, j’étais en train de noyer des cristaux que j’avais chez moi quand l’idée m’est venue d’associer les dieux celtes et une pierre à chacun. Quelque temps après en voyant les informations à la télévision, sur des nouvelles peu réjouissantes l’idée m’est venue qu’il pouvait y avoir eu un événement qui aurait corrompu certains êtres féeriques, alors qu’à l’origine tous étaient bons. C’est ainsi que les dieux celtes sont devenus les intermédiaires du grand roi de l’univers et qu’à cause du manque de discernement des hommes et le peu de cas qu’ils font d’eux-mêmes ou de leurs propres races dans des combats fratricides, que j’ai pensé que de si belles choses comme des êtres féeriques devraient nous être soustraites n’étant pas prêts à en recevoir ce trésor. Après cette suite d’événements sans grande relation entre elles, c’est comme si la toile de mes idées avait été rassemblée en puzzle. Chaque élément complétait l’autre et reconstituait une œuvre. Il ne manquait qu’un esprit spirituel pour donner à ces évènements un air ancien. Quel livre est le plus lu dans le monde : la bible. Pour l’être supérieur, je ne voulais en aucun cas blesser les croyances de chacun ou être affilié à une religion particulière, j’ai donc décidé qu’il porterait le non de « roi de l’univers » et serait celui que chacun verrait en lisant l’ouverture du roman. J’avais lu un jour un article qui m’avait marqué disant que dans chaque être humain nous avions un gène commun à toute l’humanité. Suivant cette idée j’ai pensé qu’une loi aurait été inscrite dans le cœur de chaque créature féerique ne pouvant pas si soustraire, sinon comment expliquer qu’il existerait encore des êtres magiques de nos jours, ils devaient donc se protéger pour survivre même si cela impliquait de laisser vivre les êtres qui aurait été corrompus par la malveillance humaine. La dernière question restait en suspens comment, et dans quelles conditions un être humain aurait-il le droit de voir les fées ou les créatures magiques ? J’ai repensé à l’affaire Elsie et Frances Griffiths de Cottingley étant enfant, elles ont « pu voir » des fées. La solution était là : la pureté de cœur. Le tour était joué. Il fallait être une personne avec de bonnes intentions et une âme assez pure pour que lui soit accordé le droit de voir les êtres féeriques. C’est ainsi que j’ai en parti répondu aux questions principales pour commencer mon roman. La suite vous la lirez, elle commence ainsi : Notre histoire commence par ce froid d’hiver sur le déclin…. .  A bientôt pour un nouvel article.